févr. 2007
The host
27/02/2007 11:33
The Host correspond tellement au genre de films que j'aime que j'hésite presque à en parler. Coréen, réalisé par Joon-ho Bong, il raconte l'attaque d'un monstre aquatique, conséquence contre-nature de l'accumulation de déchets toxiques dans la région de Séoul. La banalité du propos (et sa tonalité godzillatesque) est largement dépassée par l'efficacité de la mise en scène, qui a le mérite de faire d'authentiques et intelligentes propositions visuelles.
Le monstre attaque, donc, et enlève la petite Hyun-seo. Incapables de se faire entendre des autorités, les membres de sa famille vont partir à sa recherche. Et non je n'en dirai pas plus parce que le cinéma ce n'est pas fait pour être raconté.
Là où le film m'a emballé, c'est dans le traitement des personnages principaux. Le parallèle peut être fait avec La Guerre des Mondes de Spielberg. Là aussi les personnages sont des déclassés. Mais là où les américains se contentaient rapidement de faire de Tom Cruise le héros - solaire - de rigueur, Joon-ho Bong fait de son quatuor pathétique à la recherche d'une petite fille perdue le support d'un discret discours politique et social.
En un mot, le film de genre dans toute sa splendeur : aussi jouissif dans ses moments de violence que séditieux dans son propos.
ps.: tiens, le Gino parle de moi dans son blog. Va falloir me mettre au boulot.
Le monstre attaque, donc, et enlève la petite Hyun-seo. Incapables de se faire entendre des autorités, les membres de sa famille vont partir à sa recherche. Et non je n'en dirai pas plus parce que le cinéma ce n'est pas fait pour être raconté.
Là où le film m'a emballé, c'est dans le traitement des personnages principaux. Le parallèle peut être fait avec La Guerre des Mondes de Spielberg. Là aussi les personnages sont des déclassés. Mais là où les américains se contentaient rapidement de faire de Tom Cruise le héros - solaire - de rigueur, Joon-ho Bong fait de son quatuor pathétique à la recherche d'une petite fille perdue le support d'un discret discours politique et social.
En un mot, le film de genre dans toute sa splendeur : aussi jouissif dans ses moments de violence que séditieux dans son propos.
ps.: tiens, le Gino parle de moi dans son blog. Va falloir me mettre au boulot.
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Docteur ?
24/02/2007 19:41
Mercredi, je suis fiévreux ? Pas de problème ! Je vais travailler jeudi.
Jeudi, je suis agonisant ? No problemo ! J'y retourne vendredi.
Donc aujourd'hui je suis aphone, épuisé et réellement moribond.
Et personne pour me dire merci, me donner une prime ou me faire une tape dans le dos.
Il faudrait vraiment que je plonge dans mon arbre généalogique pour comprendre ce qui a bien pu arriver pour que j'en sois là. Je dois avoir du sang de protestant mélangé à celui de quelques jansénistes qui ont fauté...
Jeudi, je suis agonisant ? No problemo ! J'y retourne vendredi.
Donc aujourd'hui je suis aphone, épuisé et réellement moribond.
Et personne pour me dire merci, me donner une prime ou me faire une tape dans le dos.
Il faudrait vraiment que je plonge dans mon arbre généalogique pour comprendre ce qui a bien pu arriver pour que j'en sois là. Je dois avoir du sang de protestant mélangé à celui de quelques jansénistes qui ont fauté...
Souvenir (2)
19/02/2007 23:51
Sur un air de Dalida
16/02/2007 00:30
Grosse, grosse fatigue. Je viens de faire la liste de toutes les choses que j'ai en retard, des courriers à envoyer. J'ai même regardé droit dans les yeux la pile de boulot qui ne cesse de grandir dans un coin de mon bureau.
Gargl. Ce n'est pas tant le boulot qui me dérange, mais la masse qui me fait peur. Donc demain je m'y mets. Ou alors dimanche.
Gargl. Ce n'est pas tant le boulot qui me dérange, mais la masse qui me fait peur. Donc demain je m'y mets. Ou alors dimanche.
Je veux...
13/02/2007 17:36
Au boulot
02/02/2007 23:32
Je me plonge actuellement dans l'histoire récente des services secrets. Le travail est conséquent pour quelqu'un qui, comme moi, ignore à peu près tout de la chose. Le panorama qui se dessine est fascinant et dépasse de très loin tout ce que j'aurais pu imaginer jusqu'alors.
Tout ça pour dire que oui, mon Gino, je travaille.
Tout ça pour dire que oui, mon Gino, je travaille.